Le projet d’installation d’une antenne relais à Wattrelos par l’opérateur téléphone mobile SFR est devenu l’arlésienne de la ville faute de décision politique. Voila une question qui empoisonne la vie de citoyens à tour de rôle. Après la tentative d’installation quasi clandestine carrière Delmarre, vite débusquée et mise à mal par la résistance des riverains, après un échec de la solution par une « mascarade de referendum », boycottée par une large majorité de riverains, aujourd’hui c’est autour des habitants de la Houzarde de faire face dans des conditions déplorables.
WATTRELOS POUR TOUS, fidèle à ses positions, réclame de la transparence sur une question aussi sensible comme l’installation d’antennes relais dans la ville, au nom du principe de précaution et de la prévention des risques sanitaires qui y sont liés. Le Maire de Wattrelos ne peut laisser pourrir la situation indéfiniment, d’autant plus qu’il aura à faire face aux dix ou quinze autres antennes qu’il annonce lui même pour les deux prochaines années dans la ville du fait de l’arrivée d’un quatrième opérateur sur la marché.
Dans l'immédiat WATTRELOS POUR TOUS demande au Maire de Wattrelos et à sa majorité :
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de négocier un moratoire avec tous les opérateurs le temps de l’élaboration d’un Schéma d'implantation concerté dans le cadre d’assises de la téléphonie mobile pour assurer la couverture de la ville dans des conditions les moins risquées possibles : la commune ne manque pas d'espaces où des antennes peuvent être implantées suffisamment loin des habitations! Le cas échéant, prendre un arrêté municipal instaurant ce moratoire ;
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de conduire dans le cadre de ses fonctions parlementaires le débat à l’assemblé nationale pour qu’enfin les villes et les riverains aient leurs mots à dire sur de telles installations (droit d’enquêtes publiques, permis de construire, les voies de recours des riverains, l’introduction d’un droit opposable à l’installation d’antenne dans un territoire si une majorité d’habitants le décident (par referendum), les garanties et les obligations sanitaires des opérateurs, etc.) ;
- de procéder de toute urgence à l’inventaire de toutes les antennes relais existantes sur le territoire de la ville précisant les localisations, les puissances, les opérateurs et les rendre publiques ;
- de soumettre au referendum la question de l’engagement de la ville dans les actions de justice si nécessaire pour défendre l’intérêt des riverains ;
- de mettre en place un « Comité de veille sanitaire et d’information antenne relais » dans la ville, associant les citoyens riverains, les associations de défense de l’environnement, les associations des habitants, les personnalités qualifiées indépendantes sur les conséquences de ces antennes sur la santé des riverains ;
